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Facteurs de risque d'infection et de maladie par le SRAS-CoV-2 chez les chats et les chiens (disponible en anglais seulement)

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Disponible en anglais seulement.

Avis de non-responsabilité : les articles publiés en avant-première ne sont pas considérés comme des versions finales. Toute modification sera reflétée dans la version en ligne du mois où l'article est officiellement publié.

Les chercheurs ont testé des échantillons d'écouvillons d'animaux de compagnie dans des ménages de l'Ontario, au Canada, avec des cas humains de COVID-19 par PCR quantitative pour le SRAS-CoV-2 et ont interrogé les propriétaires d'animaux pour les facteurs de risque associés à l'infection et à la séropositivité. Ils ont testé des échantillons de sérum pour augmenter les protéines IgG et IgM chez les animaux domestiques ainsi que chez les animaux des refuges et des cliniques de stérilisation à faible coût. Parmi les animaux domestiques, 2 % (1/49) des échantillons d'écouvillonnage de chiens et 7,7 % (5/65) de chats étaient positifs pour la PCR, mais 41 % des échantillons de sérum de chien et 52 % des échantillons de sérum de chat étaient positifs pour le SRAS-CoV -2 IgG ou IgM. La probabilité de séropositivité au SRAS-CoV-2 dans les échantillons d'animaux de compagnie était plus élevée pour les chats mais pas pour les chiens qui dormaient sur le lit de leurs propriétaires et pour les chiens et les chats qui ont contracté une nouvelle maladie. La séropositivité dans les échantillons de la clinique de stérilisation était de 16 % (35/221) ; dans les échantillons d'abris, 9,3 % (7/75). Les résultats de la recherche indiquent une forte probabilité que les animaux de compagnie dans les ménages d'humains atteints de COVID-19 se séroconvertissent et tombent malades.